Mécontent de leur l'exclusion des discussions liées à la réforme de la loi 12.08, le Syndicat national des médecins du secteur privé requête la création d'un conseil indépendant pour les médecins du secteur privé.

Mécontent de leur l'exclusion des discussions liées à la réforme de la loi 12.08, le Syndicat national des médecins du secteur privé requête la création d'un conseil indépendant pour les médecins du secteur privé.

Ati Mag

Dans un communiqué reçu par Ati Mag, le syndicat national des médecins du secteur privé a appelé les autorités compétentes à assurer le strict respect des dispositions de la loi réglementant les élections des organes électoraux, et à établir un calendrier électoral clair et transparent dans les plus brefs délais.

Le Syndicat national des médecins du secteur privé a également exprimé son profond mécontentement face à l'exclusion répétée des représentants du secteur privé des discussions liées à la réforme de la loi 12.08, notant que les médecins de ce secteur représentent la principale partie concernée par ce cadre législatif.

Le communiqué a souligné que les médecins du secteur privé représentent plus de la moitié des ressources médicales du pays et a appelé à leur intégration effective et systématique dans les différentes étapes de mise en œuvre et de mise en œuvre du nouveau système de santé.

Le syndicat a appelé à la mise en place d'un système électoral sectoriel, ou à la création d'un conseil indépendant au sein de l'Ordre des médecins dédié au secteur privé, pour assurer une représentation équitable qui tienne compte des spécificités de ce type de pratique médicale, en plus d'assurer une représentation juste et effective des médecins du secteur privé au sein des groupements territoriaux de santé (GST) et de la Haute Autorité de Santé (HAS), plutôt que de s'appuyer uniquement sur des nominations marginales par l'intermédiaire des conseils régionaux ou du Conseil national.

Elle a annoncé qu'une réunion nationale élargie se tiendrait en septembre prochain, réunissant tous les médecins du secteur privé, pour discuter des priorités clés de la prochaine phase.